Coacher quelqu’un, c’est aussi s’intéresser à son environnement, son interaction avec les autres, ses savoir-faire, et cela peut à priori sembler primordial…

Le client souvent aura à cœur de parler de son contexte professionnel, d’évoquer son propre comportement, les interactions avec ses collègues (N+1 ou N-1), de détailler ses propres compétences…

Si le coach le laisse développer et le pousse à détailler ces problématiques, les séances s’enliseront dans des tentatives de résolutions de process, de justification de postures et d’argumentations stériles et fortement improductives.

Nous sommes là dans le cas d’un coaching avec un petit « c » !

A l’inverse, si le coach accueille ces développements, mais grâce à son questionnement puissant oriente son client vers l’identification de ses valeurs, s’il questionne les croyances attachées à ces méta-programmes, alors et seulement alors, on arrivera à un coaching avec un grand « C » !

Seul ce Coaching là permettra l’émergence d’une prise de conscience pour le client, elle-même génératrice de nouvelles options…

Nota: Le diagramme présenté correspond aux « Niveaux logiques » de Robert DIlts.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Robert_Dilts